mardi 6 juillet 2010

Il y avait C. et A.
Et j'avançais comme pour une pendaison. Je savais sans savoir, puisque mes yeux ne se sont pas tournés vers le bon endroit.
17. Je crois que je vais détester ce nombre.
13. 13 aussi, tient.
Je n'y comprends rien, il manque des courbes, sur votre trois monsieur/madame.

Donnez le moi.
Vous ne voulez pas vous retrouver a 36 l'année prochaine.

J'ai croisé F., la boule au ventre.
Moi j'en avais des larmes agrippées au coeur.

Avec les deux anges, nous avons mangé, souri, et je crois que j'ai oublié, un peu. Je crois que parfois, je me disais même, qu'il me tardait l'année avec eux.
Ah oui il me tarde, mais peut-être que ce ne sera pas. Ce ne sera pas.

Et toute cette confiance. Arrêtez. Parce-que même après, ils disaient "oh c'est bon". Mais non ce n'est pas bon. Vous me tuez de votre optimisme.
Oh oui ce n'est pas la vie. Mais aujourd'hui oui, ouvrez les yeux. Ici il le faut, ici oui, peut-être pas dans nos mondes respectifs, mais ici oui.
Et j'envie T. et j'envie A. et j'envie tous les autres.
Surtout ceux qui n'ont rien fait pour.

A. m'a expliquée. J'ai compris, maintenant.

Nous saurons, demain.