mercredi 25 mai 2011

QUESTA NOTTE.

Ludovico Einaudi inonde les 22 m².
Puis c'est toujours pareil, un corps, ça touche au dedans, ça fait trembler les fleuves, mais un corps délicatement pénétré par la musique, c'est fou, c'est plein de faux vide, c'est doux et souple, ça se laisse porter par les yeux, ça dévore les notes, ça rend folle.