dimanche 11 juillet 2010

Le froid - L'oiseau dont j'ai rêvé - RoBERT.

Dans tes bras, Je voudrais, Y mourir au chaud. C'est le froid, Qui me fait peur,Le froid.

Toi, tu seras, Pour moi, Un cercueil, Où il fera bon vivre. Même morte, Je sais, Tu me couvriras.C'est toujours le froid, Qui me fait peur,Le froid.


Je t'apprendrai le silence, De beaux rêves mais tous dénués de sens. Toi qui as peur du noir, Les yeux fermés le ciel sera bleu. Oui, j'ai choisi la mort, L'amour toujours enfin existera, Plus d'absences, plus de chagrins, Ne me laisse pas, Je suis bien dans tes bras.

Des vivants nous rirons, De la mort ils ont si peur, Ils s'accrochent à leurs malheurs, Quand le bonheur est ailleurs ! Et je ris, et je danse, Immobile, quelle importance? Toi et moi, C'est pour la mort ! Et maintenant je n'ai plus, Jamais froid.

Si j'ai peur, Mon amour, C'est aussi de toi. Et si tu m'oublies? On ne sait pas, Des fois.

Moi, je connais des jeux, Qui se jouent, Jamais à plus de deux, Je connais des jeux, En fermant les yeux, Et je te promets, Jamais tu ne t'ennuieras !

Je t'apprendrai le silence, De beaux rêves mais tous dénués de sens. Toi qui as peur du noir, Les yeux fermés le ciel sera bleu. Oui, j'ai choisi la mort, L'amour toujours enfin existera, Plus d'absences, plus de chagrins, Ne me laisse pas, Je suis bien dans tes bras.

Des vivants nous rirons, De la mort ils ont si peur, Ils s'accrochent à leurs malheurs, Quand le bonheur est ailleurs ! Et je ris, et je danse, Immobile, quelle importance? Toi et moi, C'est pour la mort ! Et maintenant je n'ai plus, Jamais froid.










Jusque là , rien à dire, mon amour Elle était bien partie, notre histoire Mais voilà , je t'appelle tous les soirs Je ne veux pas te chercher des histoires J'ai passé trois jours sans te revoir Elle est tributaire, elle broie du noir J'ai besoin de toi, de te savoir Amoureux de moi ô mon amour

Viens ne me laisse pas Ce pays n'est pas le mien Là où tu n'es pas Oh viens ! Viens emmène-moi Enlève-moi Envole-moi Je n'ai que toi Je ne chercherais pas à t'enfermer Tu es l'oiseau dont j'ai rêvé Oh viens ! L'amour n'est une prison Que pour celui qui voudrait y échapper

Du noir a coulé sous mes yeux clairs C'est bizarre, on se croirait l'hiver T'as ouvert tes rideaux à ta porte Là tu vois, je me sens morte

Oui j'ai une cage mais c'est seulement Si je ne suis pas tout à fait sage Je te la prêterai simplement Quand pour moi tu n'auras pas le temps

Viens ne me laisse pas Ce pays n'est pas le mien Là où tu n'es pas Oh viens ! Viens emmène-moi Enlève-moi Envole-moi Je n'ai que toi Je ne chercherais pas à t'enfermer Tu es l'oiseau dont j'ai rêvé Oh viens ! L'amour n'est une prison Que pour celui qui voudrait y échapper

Viens...